Ma femme me trompe et me dirige.

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il y a 4 ans

Cette histoire érotique est vraie. Tellement vraie que je ne sais pas comment commencer à la raconter car je ne la vis pas très bien. J'ai 45 ans et ma femme 37.

Avant de la rencontrer, j'étais plutôt fier de mes performances sexuelles, du plaisir que je donnais aux femmes. Elle a tout bouleversé. Je le dis sans honte: c'est elle qui m'a appris le plaisir masculin. Avant elle, je me contentais de jouir dans le corps du femme après l'avoir faite jouir. Elle m'a fait entrer dans un tout autre univers, m'a prouvé que les hommes étaient plus vulnérables que les femmes, avec leur sexe offert. J'ai pris l'habitude de me laisser faire, comme elle le souhaitait. Elle me caressait le sexe, m'ouvrait les jambes, me caressait l'anus, le pénétrait avec ses doigts, me glissait sa langue dans l'oreille et dictait sa propre jouissance en me faisant l'amour à genoux sur moi.

Elle me donnait (et me donne encore) tellement de plaisir que je n'avais plus l'intention de reprendre le contrôle de notre activité sexuelle. Avant elle, j'étais rassuré de détenir (ou de croire détenir) ce pouvoir sur les femmes qui avaient partagé ma vie. Avec elle, les rôles se sont inversés.

C'était son but, elle me l'a clairement dit d'ailleurs: quand elle aimait un homme, elle faisait tout pour le contrôler sexuellement, lui donner un tel plaisir qu'il ne pourrait pas le retrouver ailleurs, auprès d'une autre femme. Ces propos m'ont un peu choqué: je n'étais donc pas le premier à lui céder ainsi... Mais d'un autre côté, j'avais découvert un tel plaisir sexuel auprès d'elle.

Les premières années de notre histoire, j'ai résisté un peu. Je lui mettais les jambes en l'air pour la prendre v i o l e m m e n t et la faire crier, je la sodomisais, bref je lui montrais de temps à autres que je savais aussi me comporter comme un homme. Ce ne sont plus que des souvenirs.

Progressivement, ces brèves tentatives de reprendre le contrôle au lit se sont espacées, puis ont disparu. Encore une fois, j'ai mauvaise grâce à m'en plaindre: j'aime tellement la manière dont elle me fait l'amour. Mais ce que je n'avais pas compris, c'est qu'elle n'était pas entièrement satisfaite sexuellement. Elle faisait passer son plaisir avant le mien puisqu'elle m'aimait, et voulait s'assurer ainsi que je ne sois pas tenté par d'autres femmes: "C'est par le sexe qu'une femme garde un homme", disait-elle fièrement.

Mais son plaisir à elle, elle a commencé à aller le chercher ailleurs, auprès d'hommes qu'elle n'aime pas, mais à qui elle se livre complètement. La première fois, c'était il y a 9 ans. Elle avait suivi une formation de quatre mois, le CPA, à 40 kilomètres de Paris. Elle logeait dans un hôtel contigu à l'école de commerce, avec les autres étudiants: tous avaient entre 30 et 40 ans. Les premières semaines, j'allais la rejoindre le soir de temps à autre. Elle m'en a dissuadé, me disant qu'ils devaient aussi travailler le soir et que pour profiter pleinement de cette chère formation offerte par sa boîte, elle devait s'y consacrer entièrement. Au lieu de rentrer le week-end, elle n'est plus rentrée que le samedi matin, pour repartir le dimanche soir. En fait, il y avait un autre homme, bien sûr. Je ne me suis douté de rien. Je mettais son comportement sur le compte de son souci de réussir cette formation. Ils étaient une dizaine de femmes et une trentaine d'hommes du même âge, réunis pendant quatre mois et vivant à l'hôtel, séparés de leur conjoint.

Ce devait être comme une parenthèse dans leur vie de couple, avec l'excitation de retrouver la liberté de leurs années estudiantines. Le soir, quand je l'appelais, je la trouvais toujours dans sa chambre, douce, aimante. Elle me l'a dit plus tard: son amant avant changé de chambre pour être dans la chambre voisine de la sienne, séparée par une porte privée. Il leur avait suffit de demander la clef à la réception. Quand sa femme appelait son amant, il regagnait sa chambre et lui répondait. Quand j'appelais ma femme, son amant regagnait sa chambre le temps de mon appel... De sorte que je n'ai rien vu venir.

Elle a quitté sa formation juste avant Noël, nous sommes partis en vacances. J'étais heureux de l'avoir retrouvée. A notre retour à Paris, une nuit, elle m'a tout dit. J'étais effondré. Elle m'a dit que je n'avais aucune raison de m'inquiéter, qu'elle m'aimait, qu'elle était juste allée chercher ailleurs une forme de plaisir sexuel que je ne pouvais plus lui donner mais que ça n'avait aucune importance pour notre couple.

Mon obsession, c'était de savoir si son amant lui avait donné plus de plaisir que moi. Elle m'a répondu très calmement que c'était deux sortes de plaisir très différents, qu'avec moi, elle contrôlait mon plaisir, et le sien en jouissant à califourchon sur moi. Qu'avec lui, elle avait eu envie d'une autre forme de plaisir, et de se laisser faire. Je lui ai demandé, même si ça n'était pas très malin, si son amant l'avait sodomisée. Elle m'a dit que oui. Là, j'ai touché le fond. Mais le pire était à venir: elle a commencé à me caresser, à prendre mon sexe dans sa bouche, je n'ai pas pu lui résister et je lui ai cédé avec autant de plaisir que j'en avais eu avant, comme s'il ne s'était rien passé. Elle contrôlait complètement mon corps.

Ensuite, nous avons fait un e n f a n t. Elle le désirait depuis quelques années. Moi, j'étais moins pressé. Mais j'espérais que cet enfant lui ferait et me ferait oublier cette histoire, que nous pourrions partir sur d'autres bases. Ca n'a été qu'une accalmie. A peu près un an après sa naissance, elle a commencé à s'absenter: des week-ends au ski avec des amies, des déplacements professionnels. Une fois, je ne l'ai pas trouvée dans sa chambre, malgré mes appels téléphoniques répétés. A son retour, elle n'a fait aucune difficulté pour m'avouer qu'elle était avec un autre homme. Elle m'a aussitôt fait l'amour, comme elle sait si bien me faire, puis, juste après la jouissance, m'a expliqué les nouvelles règle de notre couple: elle m'aimait comme au premier jour, elle n'imaginait pas sa vie sans moi et notre fils, je n'avais pas à m'inquiéter, elle voulait que je lui reste fidèle puisque j'étais parfaitement heureux sexuellement avec elle, mais elle, elle avait besoin, selon ses termes, "de phases de liberté", pour faire l'amour autrement, avec des hommes de rencontre.

Elle m'a juste promis qu'elle n'aurait jamais de relation régulière et durable avec un autre homme, et que jamais non plus elle ne rentrerait à notre domicile après avoir fait l'amour avec un autre homme dans la journée et la soirée. Mais qu'en revanche, il lui arriverait de s'absenter pour une nuit ou un week-end.

Depuis, nous vivons ainsi. Vu de l'extérieur, nous sommes un couple parfait. Je suis plutôt bel homme, elle est jolie femme, très mince, avec un corps d'adolescente malgré deux grossesses (qui lui ont quand même coûté ses seins, je dis ça méchamment parce que j'éprouve des bouffées de colère en écrivant ces lignes). En public, elle est aimante, câline. Nous avons deux superbes e n f a n t s. Mais, une fois par mois environ, elle s'absente et revient le lendemain, ou le lundi, toujours aussi amoureuse, toujours aussi câline, toujours aussi désireuse de me faire l'amour et de me faire crier de plaisir dans un lit. Le pire, c'est que je m'habitue.

Au début, j'avais peur qu'elle ne tombe sur un superbe étalon, qui lui fasse si bien l'amour qu'elle n'ait plus envie de le quitter. Elle m'a toujours dit qu'elle savait séparer le plaisir qu'elle prenait avec d'autres hommes, qui n'étaient pour elle que des corps sans importance, et l'amour qu'elle me portait. Mais c'est terrible pour un homme d'aimer une femme, d'être aimé par elle, et de ne pas savoir lui faire l'amour comme des hommes de rencontre savent le lui faire.

Au début, je lui posais des questions sur la manière dont elle faisait l'amour avec ces hommes. Elle finissait pas me dire la vérité, qu'avec eux, elle aimait être docile et se laisser faire, tout le contraire de ce qui se passait entre nous. Un jour, elle est rentrée avec des marques rouges autour des poignets. J'ai insisté pour savoir ce que c'était: elle m'a dit que son amant lui avait attaché les poignets derrière le dos avant de lui faire l'amour.

Depuis, je ne pose plus de questions. Même quand elle part pendant quatre jours comme lors du pont du 1er mai, et revient radieuse, bronzée et le sexe épilé. Elle m'a demandé si j'aimais ça. Bien sûr que j'aime çà, je suis fou de son corps lisse, de ses mains, de sa bouche, de son sexe J'adore quand elle me demande d'écarter les jambes dans un lit, car que je sais que quelques secondes plus tard, je serai en train de mordre l'oreiller pour que les enfants n'entendent pas mes cris de plaisir.

J'aime cette femme. Mais je suis complètement à elle, tandis qu'une partie d'elle m'échappe: je ne la vois jamais crier comme je suis certain qu'elle crie entre les bras de ses amants, ce n'est pas pour moi qu'elle a complètement épilé son sexe, ce n'est pas moi qui la sodomise ou lui attache les mains derrière le dos. Je suis originaire du sud de la France, j'ai été élevé dans une conception machiste du couple, j'adorais sodomiser les filles en signe de puissance sexuelle. Et maintenant, c'est moi qui garde les e n f a n t s le week-end en attendant que ma femme ait fini de se faire sauter par un autre... Les apparences sont sauves. Jamais elle n'a a b u s é de sa position de force dans notre couple pour m'humilier, me faire accepter un amant régulier, ou coucher avec quelqu'un de notre entourage (du moins je crois). Mais je m'en veux de n'avoir plus la force, le pouvoir ou l'envie de lui faire l'amour comme les femmes veulent qu'un homme leur fasse l'amour.

J'ai peur aussi de tomber encore plus bas, car je vois bien que ses absences sont de plus en plus fréquentes. Mais chaque fois que je lui parle de mes inquiétudes, de ma peine, elle ouvre mes jambes et je mords l'oreiller... Chaque fois qu'elle revient d'une de ses escapades et que j'ai l'âme sombre, elle s'habille sexy, m'amène au restaurant et me fais du pied sous la table en me disant ce qu'elle va me faire au lit quand nous serons rentrés. Et moi, je suis fou de désir, fou d'amour, je n'ai qu'une envie, rentrer, écarter les jambes et crier, encore, pour tout oublier.

Merci de m'avoir lu jusque là. C'est la première fois que j'en parle à quelqu'un d'autre qu'elle.

Si vous connaissez un moyen de rétablir l'équilibre dans notre couple, je suis preneur.... Le pire, c'est que je m'habitue.

Xavier

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